2025, année du renouveau pour le solaire thermique ?
Tombées dans l’oubli depuis trop longtemps, les technologies qui se cachent derrière le nom de « solaire thermique » offre pourtant des opportunités durables et décarbonées de produire de la chaleur locale.
« de 40 à 400°C »
Richard LOYEN, délégué général d’ENERPLAN, utilise souvent cette petite expression pour décrire les potentiels insoupçonnés du solaire thermique pour répondre à une diversité d’applications.
La valorisation de l’énergie solaire permet de produire trois grandes catégories de températures (liste non exhaustive) :
➔ De la basse température (< 40°C) qui s’applique aux serres horticoles, au maintien en température des bassins de piscine ou à la pisciculture ;
➔ Des températures moyennes (40 < x < 120°C) qui permettent de produire de l’eau chaude sanitaire, du chauffage et des eaux de process pour des applications sanitaires et industrielles ;
➔ Et au-delà de 120°C pour des applications spécifiques au monde industrielle lourd avec le solaire à concentration !
Pour plus d’informations techniques, rendez-vous sur le site SOCOL – Solaire Collectif ou contactez Erwin Regnier, consultant en solaire thermique ➔ e.regnier@cd2e.com
Plan National Solaire Thermique et États Généraux de la Chaleur Solaire
A l’instar de la géothermie qui a bénéficié d’une grande mise en avant grâce à son plan national, le solaire thermique bénéficiera du même traitement en 2025 ! La présentation de ce plan lors des États Généraux de la Chaleur Solaire (EGCS) 2025, le 18 juin à Bordeaux devant tous les représentants de la filière sera l’occasion d’embarquer cette dernière dans un nouvel essor.
